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L’idée de départ étant de cultiver la gamme des plantes dites de terre de bruyère, la collection de camélias notamment, issue d’une longue expérience familiale, trouvait là l’écrin qui lui seyait.


Il fallait donc s’organiser pour construire un outil capable de produire des plantes à cycle long (plusieurs années) sur des terrains qui pouvaient sembler de prime abord difficiles à aménager, notemment du fait d’une pente moyenne à 10 %, de contours non rectilignes bordés de talus profonds, et d’une eau qui courait bien vite quand on décidait de l’attraper...


La manutention des plantes, qui est  un cauchemar à vie quand on n’y prend garde, devait faire l’objet de toute notre attention immédiate.
D’autre part l’observation répétée, dans la profession, à travers des générations de pépiniéristes, de dégâts de toutes sortes infligés à toutes les époques par les phénomènes climatiques dits «exceptionnels» tant sur les cultures elles-mêmes que sur les structures d’abris horticoles, d’une grande fragilité, nous a dicté quelques principes à suivre dans la conception de l’outil de travail, pour éviter les aléas quand c’était possible (inondations, vent), les contrer quand ça ne l’était pas (froid) ou les  supporter paisiblement quand on ne pouvait rien faire d’autre (neige).


Enfin, l’entretien sur le long terme devait rester simple et peu coûteux, ce qui éliminait les systèmes compliqués comme les ouvrants automatiques par exemple.

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